Au début du XXe siècle, Gertrude Stein, est « une américaine à Paris ». Elle tient un salon que fréquente toute l'avant-garde artistique et littéraire de l'époque.
Le jour elle collectionne les œuvres de Matisse, Cézanne, Picasso... La nuit elle écrit, dans un style aussi moderne et novateur que celui...
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Au début du XXe siècle, Gertrude Stein, est « une américaine à Paris ». Elle tient un salon que fréquente toute l'avant-garde artistique et littéraire de l'époque.
Le jour elle collectionne les œuvres de Matisse, Cézanne, Picasso... La nuit elle écrit, dans un style aussi moderne et novateur que celui des œuvres de ses amis peintres.
Le texte, qui décrit sa vie, s'inspire de cette façon d'écrire rythmée, répétitive et jouant sur l'absurde comme dans « Une rose est une rose, est une rose, est une rose » le poème qui la rendit célèbre.
Les illustrations, faites de larges aplats de couleurs vives, s'inspirent également de l'art moderne de l'époque, de l'œuvre de Matisse, de Picasso qui « a l'air fâché mais NON. Il a juste inventé l'art moderne, ce qui est différent que d'être fâché - ou peut-être pas [...] c'est si difficile d'inventer l'art moderne. »
Nous y voyons aussi Ernest Hemingway, et surtout sa grande amie Alice B. Toklas : « Gertrude s'occupe de distraire et de faire rire ses invités. Et Alice s'assure du bonheur de Gertrude.»
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