Gustave Caillebotte (1848-1894)
Parterre de marguerites (détail), vers 1892-1893 - Décoration pour la maison de l'artiste au Petit-Gennevilliers - Huile sur toile. H. 205 ; L. 116 cm (chaque panneau)
Giverny, musée des impressionnismes - © Photo Giverny, musée des impressionnismes / F. Doury - © Rmn-Grand ...
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Gustave Caillebotte (1848-1894)
Parterre de marguerites (détail), vers 1892-1893 - Décoration pour la maison de l'artiste au Petit-Gennevilliers - Huile sur toile. H. 205 ; L. 116 cm (chaque panneau)
Giverny, musée des impressionnismes - © Photo Giverny, musée des impressionnismes / F. Doury - © Rmn-Grand Palais, Paris
Ce choix du motif des marguerites poussant au milieu de l'herbe, évoque la tradition japonaise, que les artistes français découvrent dans la deuxième moitié du XIXe siècle. Les fleurs éparpillées sur la surface de la toile, vivantes plutôt que coupées, rappellent certains chefs-d'œuvre du Japon, peints sur des paravents et des cloisons coulissantes.
La modernité de ce décor végétal foisonnant n'avait certainement pas échappé à Claude Monet.
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